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Date de rencontre Membre Ville Apparence Massage
10.10.2019 chrissss

30 Évaluations , 26 Commentaires

Paris

About the meeting:

Place: À son appartement
Durée: 60 minutes
Cadeau: 900
        

Apparence et Services:

Apparence: 10.0
Massage: 10.0
Rating: 92.5
Massage: Enthousiaste
Attitude: Amicale
Conversation: Intelligente
Photos: Photo 100% réelle

Évaluation:

Un nouveau merveilleux moment en compagnie de Chanthal, Silvia et Leonie. Ces 3 femmes sont d une très grande beauté, adorables, et pleine d entrain. Une seconde expérience à 4 que je ne suis pas prêt d oublier. Merci princesses!

Date de rencontre Membre Ville Apparence Massage
25.08.2019 marc-antoine

33 Évaluations , 46 Commentaires

Paris

About the meeting:

Place: À son appartement
Durée: 60 minutes
Cadeau: 300
        

Apparence et Services:

Apparence: 10.0
Massage: 10.0
Rapport: qualité/roses: 10.0
Rating: 99.0
Massage: Enthousiaste
Plusieurs Massages: Oui, plusieurs fois
Poitrine: Réels
Attitude: Amicale
Conversation: Intelligente
Disponibilité: Facile de réserver
Photos: Photo 100% réelle

Évaluation:

Ce dimanche fut mon dernier jour de vacances. Et j’ai eu le privilège de le passer avec toi, ma sublime magicienne. Je me suis encore faufillé en profitant de la pénombre dans cette merveilleuse ruelle. Ma ruelle du bonheur. Entre la dernière maison de Balzac et le drapeau turc. La nuit l’avait déjà envahi. Mais je la connais bien. Avec ses pavés irréguliers que j’aime tant. Comme la vie. Ses deux murs, vieux de plusieurs siècles, qui se resserrent, qui nous enserrent dans la nuit. Et cette pierre au-dessus duquel est marqué : « cette borne marque la limite entre la seigneurie de Neuilly et de Passy ». Une vielle pierre toute lisse, polie par les siècles qu’elle a parcouru. Elle a du en voir de sublimes dames si capables d’illuminer le cœur des hommes. Peut-être a-t-elle connu Ninon ? Le soleil du Roi Soleil. Et elle t’a sans doute aperçu. Il faudra que je lui demande. Dans les derniers mètres du passage, la nuit est totale. Le plaisir de te retrouver me guide. Sorti de ma merveilleuse ruelle, je plonge vers le fleuve. Quelques pas encore et j’aperçois tes fenêtres. Devant la tour Eiffel qui se met à scintiller car il est l’heure – en l’occurrence vingt et une heure. Sur la Seine, un bateau passe avec ses lumières, ses touristes, sa joie. Et j’attends ton message. Le fameux code. Le plaisir de te retrouver. Avant de replonger. Un instant. Une heure seulement. Avec ma belle magicienne, ma sorcière bien-aimée. Le plaisir de monter les beaux escaliers montant vers ton appartement. Le bruit sourd de la serrure de ta porte. L’ouverture. Et la découverte de ta jolie tenue du moment. Le plaisir de te voir avec ta magnifique queue de cheval de reine des amazones. Le délice de ton si magique accent. Peut-être aurais-je le délice d’un éclat de rire de ta part, d’un sourire. Je suis comme un enfant découvrant un monde merveilleux. Je serai bientôt un homme habité par le plus intense des désirs, dont le corps se tendra d’envie. Je veux encore vivre ce miracle répété en soixante minutes. 60 minutes : plus fort que «24 heures ». Quand la porte s’est refermée dimanche, je t’ai retrouvée si magique. Si tentante. Si élégante. Avec ton visage de Madone. A la dérobée, je m’enivre de ta beauté. Tes pieds si mignons.dans tes si belles chaussures. Tes longues jambes bronzées et si délicieusement musclées. Je relève la tête et je tombe dans ton regard : je voudrais m’y noyer ma « cheffe ». « Le prince des poètes, le poète des princes » parlait lui ainsi dans son « Premier livre des amours » (1552): «Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse, / Pour ce bel oeil, qui me prit à son hain, / D'ambre et de musc, baiser d'une Déesse.  // Je veux mourir pour cette blonde tresse, / Pour l'embonpoint de ce trop chaste sein, / Pour la rigueur de cette douce main, / Qui tout d'un coup me guérit et me blesse. // Je veux mourir pour le brun de ce teint, / Pour cette voix, dont le beau chant m'étreint / Si fort le coeur que seul il en dispose.// Je veux mourir ès amoureux combats, / Soûlant l'amour, qu'au sang je porte enclose, / Toute une nuit au milieu de tes bras. » (Pierre de Ronsard) Le merveilleux pouvoir de vous mesdames de nous donner de tels sentiments inspirés. Toutes si différentes et si merveilleuses les unes et les autres. Le plaisir de te suivre sagement sur ton canapé pour converser. Le beau charme de la conversion des femmes. La belle tradition des cafés de Paris du XVIIIe. Parler de tout et de rien en cherchant à te faire sourire, à faire surgir un magnifique rire sonore. De voir les lumières se projeter sur ton visage divin. Et le bonheur de sentir que tu es contente d’être ici avec moi. Et puis vient le commandement de la douche. Et ce plaisir sans  cesse renouvelé de la chair. Le bonheur serein d’un homme qui a désormais parcouru la plus grande partie de sa vie de s’apercevoir que la vie est encore en lieu, capable de désirer ardemment une femme, de retrouver la virilité, l’envie de ses années de jeunesse grâce à ta magie. Envie de répéter la supplique du sage Paul Valéry : « Laisse que je dispose de ton corps. Ferme les yeux. Oublie tout ce qui n’est pas (tel est le point capital). Laisse donc que mes mains disposent de ton corps, le suivent, le préparent dans ses profondeurs de par le contentement et l’appel de sa surface. Comme si je le formais et déduisais de place en place de la suite de ses formes. Ainsi je te fais connaître tes propres parties et leurs dépendances. / Je te lisse, je t’enveloppe, je te presse. / Je t’applique une vie ici et là une douceur te couvre comme une ombre / Une caresse qui (contient) l’ombre d’une force et parfois la prononce, et parfois s’allège et te fuit le long de toi si frôlée que ta chair se hérisse et se dresse vers la paume chargée de vit, etc. Je fais naître une attente de prodiges. / Je te formerai. Je te fermerai toute comme dans une immense main. Tu es prise dans ce que tu veux et que je fais vouloir --- comme tu me fais vouloir ce vouloir. Maintenant, tu es faite. Et je te connais, je te vois comme en transparence. Que de ressources tu te sens que tu ignorais. » (Paul Valéry « Eros », tiré de « Paul Valéry et Jean Voilier au château de Béduer », 1945) Le merveilleux contraste entre ton silence dans la bataille dans la chambre avec ta volubilité délicieuse au salon. La divine éloquence de ton visage au moment où tu t’élèves au dessus de moi vers le ciel. La magique éloquence des spasmes de ton corps dans les derniers assauts. « Les nus bien joints, leurs sources mieux que jointes / L'amour en force, à huit membres ramant, / Presse les corps vers l'éblouissement / Du haut sommet aux deux divines pointes. // Aux flancs, aux reins, aux seins, les mains empreintes / L'être avec l'être ajustent fortement / Pour l'oeuvre intense et l'âpre emportement / Des heurts dansés par leurs fureurs étreintes. // L'âme commune, à chaque tendre choc, / Sent le délice exhausser roc sur roc / Les vifs degrés qui visent à la cime : // Sa hâte ébranle une vie aux abois / Et la chair verse une plainte unanime / Qui plane et meurt sur la suprême fois. » (Paul Valéry « En Acte », tiré de « Corona et Coronilla » (2008) ). Ma sorcière bien-aimée, ta beauté, ta sensualité, ta sincérité, ton authenticité, ta magie m’ont une fois de plus tant troublé. Tu as ravi mon esprit, mon cœur et ma chair. Tu m’as encore enrichi de moments inoubliables. A bientôt ma belle princesse des Andes. Bon séjour à Cannes.

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